Centre Soins-Études Pierre Daguet

J’avais 19 ans quand j’ai commencée une vie dans cet établissement. J’étais dans une dépression plutôt profonde après mon hospitalisation fin 2017, mon arrêt brutal de scolarité et en vrai tout pleins de problèmes que j’ai compris plus tard.C’était mon psychiatre qui me l’avait conseillé, il était convaincu que ça pourrait m’aider. Alors le 11 janvier 2019, je me suis installée à plein temps dans ce bâtiment, premier étage, service héra, dans la chambre 104. J’ai tout de suite été accueillie par mon infirmière référente, qui m’a vraiment rassurée sur mes prochaines conditions de vie. C’était la première fois que je quittais ma famille pour aussi longtemps dans une ville où je n’avais aucune attache. Et même si souvent des moments violents, pour moi ou pour d’autres, se produisaient, que mes émotions s’affolaient jusqu’à l’angoisse, et qu’on se pourrissait parfois entre nous, ce fut la première fois depuis tellement longtemps que j’arrivais à me faire des amis. Et bon, ça joue aussi avec le fait que presque tous les patients-élèves était queers de près ou de loin, mais j’ai pu commencer une expression de moi, de mon genre, de mes attirances…Des défauts pour ce lieux, y’en avait, je peux pas le cacher… des relations à la fois toxiques et fortes, des violences de tout genre, des abandons aussi… mais, et même si c’est un peu rapide de dire ça, je pense que ce lieu, ces soignants presque tous merveilleux, ces activités, qui croyez moi sont l’exception par rapport aux autres établissements de ce genre, ces spectacles, ces sorties, ces cours, ces profs, ces gens de mon âges, m’ont sauvé la vie a une époque où elle connaissait un creux profond. Après oui la sociologie est souvent un peu bourge, qu’on se le cache pas, mais ça c’est beaucoup du à l’aspect privé du truc. Aussi faite gaffe, ça se trouve à sablé-sur-sarthe, et désolé pour ceux qui y vivent, mais bon, c’est assez dur de trouver plus vide et chiant, donc quand on est ados, c’est pas la panacée…M’enfin, c’est quand même une bonne expérience ce cse^^

Pendant mon séjour je n'aurais clairement pas mis cette note mais ce genre d'établissement est une étape nécessaire pour certaines personnes et étant sorti depuis le moi de juillet je peu affirmé que mon expérience au centre soins étude mérite 5 étoiles. Le self est globalement de bonne qualité, la scolarité est impeccable, les professeurs sont gentils, drôle attentionné et très pédagogue. Quant a la partie la plus importante, c'est a dire les soins c'est plus compliqué. Il est arrivé que les soignants soit désagréable par des remarques déplacé ou ce genre de chose mais ils sont ouverts a la discussion et il est possible de clarifier les choses avec eux assez facilement. De plus beaucoup de service sont disponibles ; psychologue, psychiatre, neuropsychologue, diététicienne, médecin généraliste. Il est même possible d'y organiser des entretiens familiale au sein du centre. Globalement ce n'est pas pour tout les profils c'est sur mais j'y ai tout de même passer de très bon moment, rencontré beaucoup de personnes que je n'oublierai jamais et j'ai réussi à avoir mon baccalauréat après 5 années de lycée.Merci a toutes les personnes que j'y ai rencontré, au personnel de la scolarité, au service Gaïa et a Dionysos.Malo Lechesne

Ce centre de soins permet d'avancer et d'évoluer malgré les problèmes de santé. Les soignants sont disponibles, à l'écoute et donnent des conseils. Même si il y a des moments de crise"

Psychiatres nuls, infirmiers imcompétents. Aucune aide n'a été fournie durant mon séjourDes ts causés par les paroles de certains infirmiers. Très peu de surveillance, surtout du bavardage dans le bureau des infirmiers (qui ne portaient même pas le masque entre eux en période de covid alors que nous y étions obligés.)Aucune écoute et compréhension, ça rentre par une oreille ça ressort par l'autre.Effectivement on dirait que de nos jours l'argent est plus important que la santé.Pour la partie scolarité, aucune aides niveau orientation, aucunes informations donnés au parent, mensonges de leurs part, équipe malveillante.

Des gens meurent ici, à cause des maltraitances.Aucune surveillance le dimanche, attendez-vous à laisser votre enfant à la merci de tarés et autres v*oleurs.Des affaires de valeur volées dans les chambres par le service de ménage également.Rien de plus à dire, excellent si jamais vous souhaitez que votre petit(e) ressorte avec plus de problèmes qu'il n'avait en y entrant (s'il/elle sort un jour, évidemment)

La scolarité, l'animation, les médiations et le self sont géniaux sans aucuns défauts.En revanche les soignants et certains médecins ne sont pas à l'écoute, décident tout à notre place sans qu'on n'est notre mot à dire. On ne nous explique rien sur nos traitements. Manque de profesionalisme des soignants qui ne respectent pas non plus le secret médical. Les soignants jugent les jeunes, ils dévoilent la pathologie d'autres jeunes en plein entretien de référence !C'est très moyen...Au début quand on arrive au centre on est comme dans un rêve mais ça change vite après.Je suis restée au centre que pour la scolarité si il n'y avait pas la scolarité je serai partie depuis longtemps.

Je suis rentré dans ce centre en 2019, après 2 ans de déscolarisation, et j'en suis sortie en 2021. Les soignants sont adorables et super pros pour l'immense majorité d'entre eux, (Gros Big Up à l'équipe d'Artémis), même si il y à quelques exceptions. Les profs s'adaptent autant qu'ils le peuvent à chaque élève et sont super patients.

Après avoir passé 2 ans au centre, je me permets de réécrire mon commentaire peu constructif.Une grosse sensibilisation au niveau de la transidentité est nécessaire notamment pour les médecins qui nous accueillent lors de notre première ou seconde admission, et surtout au niveau de la direction... Il est également nécessaire de former les infirmier•e•s sur ce sujet. Ai-je été la première personne trans sous hormones dans ce centre ? C'est bien cette question que je me suis posé lorsqu'une infirmière voulait m'injecter une ampoule entière de testostérone dans le corps malgré la prescription qui indiquait un dosage spécifique. D'autres infirmières se sont jointe à cette dernière en m'indiquant qu'il n'était pas possible de m'injecter la dose que je leur indiquait (et prescrite par ailleurs). Heureusement que je connaissais mon traitement.De plus, il est important d'indiquer que le psychique est important, c'est certain, mais le physique aussi. Pour des soucis de santé physique, les soignant•e•s sont perdu•e•s et remettent tout sur le psychique. Pour une pancréatite aigüe par exemple, me tortillant de douleur pendant 2 jours, on a remis mes douleurs à des brûlures d'estomac liés à mes TCA. 2 jours pour finalement m'emmener aux urgences. Ce n'est pas normal.Sinon, certain•e•s soignant•e•s sont super, d'autres feraient mieux de partir à la retraite, et d'autres, encore, ne sont pas adapté•e•s à la psychiatrie.Je suis complètement d'accord avec certains avis laissés par mes pairs concernant les tenues vestimentaires, beaucoup, de filles notamment, s'interdisent de porter ce qu'ielles veulent sous prétexte d'être provocant•e ou encore inadapté•e. Cependant, déjà que nous sommes en souffrance psychique, nous interdire certains vêtements, remettre en question le rapport au corps de certain•e•s ne me semble pas très judicieux ni même très professionnel.Suivi neuropsychologue super, pédiatres adorables, psychiatres disponibles et compétents (pour la grande majorité), self avec de vrais cuisiner•e•s, thérapie familiale très intéressante, et puis, je ne parle même pas de la scolarité, tellement le suivi est complet. La compréhension est de mise, les aménagements de scolarité sont mis en places rapidement, toute l'équipe éducative est super également.Si j'ai une chose à redire, ce serait par rapport à la sortie. On nous responsabilise trop par rapport au relais de soins. C'est à nous, pour la plupart, de trouver les professionnels, de les appeler, pour avoir un suivi. Je n'ai pas eu le droit à une lettre de liaison pour ma/mon nouve•au•lle psychiatre par exemple. Plusieurs jeunes partagent également mon avis concernant une sortie peu aménagée et peu construite avec nous. Une fois sorti, plus aucun contact. Pour une attestation d'un psychiatre, on peux aller se faire mettre et les infirmier•e•s ne donnent plus signe de vie. Quant aux profs, ils sont toujours contents d'avoir de nos nouvelles.Pour conclure, ces 2 ans m'ont permis d'aller mieux, pour d'autres, cela à été compliqué, voire plus difficile dans leur vie.Qui que vous soyez, prenez soin de vous.

Alerte - Si vous avez un entretien prochainement - Vous serez très mal reçu. Je suis pourtant solaire et très agréable. J’avais bien appelée avant l’entretien pour ne pas me déplacer pour rien et demander la correspondance avec mon C.V avec le métier :) - En 2 minutes on me dit « Non ! » tout de suite - La cadre supérieure de santé, Mme David A. est assez abjecte et malheureusement avec peu d' intelligence émotionnelle. Très peu ouverte et manque d'empathie. Nous espérons que le management n’est pas le reflet de sa personnalité. Un ras-le-bois palpable qui est bien dommage ! De la fraîcheur, du professionnalisme et de l’écoute serait vraiment un atout pour la clinique et les adolescents(-es). Signe évident d’un manque de communication entre les équipes. J’aurai dû suivre les commentaires déjà négatifs mais je suis passionnée alors j’ai tout de même postulé. Une perte de temps !