Filles de la Charité 6 Gd Rue Fain, 21500 Fain-lès-Moutiers

Filles de la Charité





15 Avis




Filles de la Charité 6 Gd Rue Fain, 21500 Fain-lès-Moutiers




À propos de l'entreprise

|

Contacts

Site Web
Appelez-nous
0380967065
6 Gd Rue Fain, 21500 Fain-lès-Moutiers

Heures

Fonctionnalités

  • Parking accessible en fauteuil roulant
  • Entrée accessible en fauteuil roulant




Avis recommandés

lauquin laurent
25.12.2023
Filles de la Charité
Belle accueil belle endroit calme et reposant
Carlos González Paniagua
22.11.2023
Filles de la Charité
Casa de nacimiento de Santa Catalina Labouré, a quien se le apareció la Virgen de la Medalla Milagrosa en 1830 en la ciudad de Paris.
Simon Plagnal
16.11.2023
Filles de la Charité
Un moment très agréable partagé avec une sœur qui vous racontes l’histoire de la maison de sainte Catherine, on s’y croirait, je recommande vivement la visite
VINCENT DUQUESNOY
13.11.2023
Filles de la Charité
Communauté de filles de la charité très accueillante.Un endroit calme, un havre de paix, cet endroit est la maison natale de Sainte-Catherine labouré, filles de la charité.Source informations WikipediaCatherine Labouré, en religion sœur Catherine de la charité née le 2 mai 1806 à Fain-lès-Moutiers France et décédée le 31 décembre 1876 à Paris, fille de la charité, elle a fait part à son confesseur seulement des apparitions de la Vierge Marie qu'elle dit avoir eues en juillet et novembre 1830 durant son noviciat (appelé séminaire chez les Filles de la charité) en la chapelle de son couvent de la rue du Bac à Paris.Cet événement est à l'origine de la diffusion de la « Médaille miraculeuse », portée aujourd'hui par de nombreux catholiques.Canonisée en 1947 par Pie XII, Catherine Labouré est liturgiquement commémorée le 28 novembre[1].Catherine est née à Fain-lès-Moutiers en Bourgogne, huitième des dix enfants du fermier Pierre Labouré et de son épouse Louise Gontard qui meurt le 9 octobre 1815. Ayant perdu sa mère à l'âge de neuf ans, Catherine, que sa famille appelle Zoé, développe une affection particulière pour la Vierge Marie[2].Pieuse, elle est également sujette à des visions ou à des prémonitions qu'elle ne révèle qu'à son confesseur et à sa supérieure. Sa vie entière sera marquée par un profond silence.Apparitions de la Sainte ViergeCatherine révèle à son confesseur seul que, pendant son noviciat, dans la nuit du 19 juillet 1830, jour de la fête de Vincent de Paul, elle aurait été réveillée par un petit enfant qui lui dit « Ma sœur, tout le monde dort bien. Venez à la chapelle. La Sainte Vierge vous attend. » Croyant rêver, Catherine se lève, s'habille et suit l'enfant. Arrivée à la chapelle, elle entend bientôt le froissement d'une robe de soie. La Sainte Vierge est là, resplendissante, et lui parle durant deux heures, lui confiant que Dieu a une difficile mission pour elle.Catherine aurait alors entendu la Sainte Vierge Marie lui demander de porter ces images à son confesseur, en lui disant de les faire frapper sur des médailles car « tous ceux qui la porteront avec confiance recevront mes grâces ».Médaille miraculeuseAprès deux ans d'enquête et d'observation de la conduite de Catherine, le prêtre informa l'archevêque de Paris, sans lui révéler l'identité de Catherine. La requête fut approuvée et les médailles furent frappées et devinrent extrêmement populaires, notamment durant l'épidémie de choléra de 1832.La Vierge avait en outre demandé à Catherine de rassembler une confrérie d’enfants de Marie[4]. En 1837, les Filles de la charité et les Lazaristes répondent à ce vœu en fondant les Enfants de Marie Immaculée[5].L'Immaculée ConceptionBien que la foi en l'Immaculée Conception de la Vierge Marie fût largement répandue, la doctrine n'avait pas encore été définie et le dogme non encore proclamé. La médaille avec les mots « conçue sans péché » conduisit le pape Pie IX (élu en 1846) à aller de l'avant : le 8 décembre 1854, il proclame solennellement le dogme de l'Immaculée Conception.Catherine Labouré meurt le 31 décembre 1876, quarante-six ans après ses visions, sans jamais avoir révélé son secret à d'autres qu'à son directeur spirituel.La Croix de la VictoireQuelques mois après la fin de la Révolution de 1848, Catherine Labouré aurait eu la vision d’une « Croix de la Victoire », d'un monument qu’il se serait agi d’édifier à Paris

Ajouter un avis

Carte

6 Gd Rue Fain, 21500 Fain-lès-Moutiers
Filles de la Charité