CHU – Hôpital de la Charité

Mon père est décédé le 30 janvier 2022... 1 jours avant son décè il allait bien. On a pas su nous dire de quoi il était mort...L'étoile c'est uniquement pour les infirmiers et infirmières qui étaient adorables avec mon père et sa famille.Je vous déconseille fortement de faire transférer vos proches de l'hôpital nord ici.

Le médecin dit pas tout au membre de la famille parce que il y a un référent et que celle ci s entend pas bien avec sais anormale

1 Etoile est de trop !!! le seul hospice qui rende ses lettres de noblesse au vieil adage ...L'hôpital qui se fout de la charité !! A fuir, sauf si vous désirez placer une vieille belle mère exécrable elle y trouvera ses semblables parmi quelques aides soignantes qui n'ont rien à faire dans le milieu médical

Pitoyable ! Il n y a pas d'autres mots pour décrire cet hôpital qui n'en est pas un. Le personnel délaisse les patients. Nous avons retrouvé au fin fond de la chambre tout le linge sale empilé avec la prothèse de ma grand mère. Personne n'a su nous dire pourquoi elle était là. Ils ne prennent pas soin des personnes âgés et les laissent à l abandon se débrouiller seuls alors que si ils sont là c'est qu'ils ont besoin d'aide. Un scandale

Infirmière et aides soignantes competentes et sympa mais les locaux sont a la limite de l insalubrité. Je ne sais pas comment les pouvoirs publics peuvent laisser des personnes malades être accueillies dans ces conditions. On se croirait dans un vieux film des années 70 !

Fin mai 2023, après une première tentative déjouée, le docteur Catherine TERRAT, médecin généraliste avec une capacité en gériatrie, a réitéré sa proposition d'engager une démarche visant un placement définitif de ma mère contre sa volonté, aux deux motifs que la mémoire poursuivait son déclin (depuis 10 ans...), et qu'il existait un conflit familial. Le médecin agite de surcroit un vieil argument : « il faut la placer le plus tôt possible, car elle s'adaptera mieux ». Ne devrait-elle pas plutôt se demander si la maladie, une dégénérescence de l’hippocampe, lui permet encore de s'adapter ? « Au mieux, elle risque de tourner en rond en se demandant où elle est… » selon le cabinet infirmier qui la suit avec nettement plus d’empathie.En plus d’une présence bienveillante qui la rassure, maman a besoin d'être stimulée pour ne pas décliner rapidement. Le maintien à domicile actuel lui permet de participer à trois journées d'accueil de jour hebdomadaires. Dans le cas où un placement serait décidé, le médecin gériatre a prévenu qu'il serait mis fin à l'accueil de jour. Cela revient de facto à la condamner.Autres points inquiétants, une divergence nette est apparue entre son discours radical tenu dans le huis clos du cabinet, et le contenu «soft » des compte-rendus écrits au médecin traitant. D'abord qualifiée « d'hébergement temporaire », la proposition, dont elle ne parvenait pas à justifier la réelle utilité, est devenue « placement définitif si Madame grange s'adapte bien à l'issue de son essai de 2 mois »… Dans le cabinet, l'aidant est qualifié sans hésitation ni justification « d’inutile ». Tant qu’à faire, le médecin n’hésite pas à mettre en doute la qualité de la gestion départementale des fonds APA. Mais elle « n'a pas d'emprise dessus, hélas ».Le Dr TERRAT va sur la soixantaine. Ses agissements sont donc connus depuis des années des professionnels de santé, qui s'étonnent qu'ils puissent perdurer. Voici ce qu’ils en disent : « Aux patients qui lui sont confiés, le médecin enlève toute autonomie : la possibilité de faire elle-même sa toilette, la possibilité de préparer les repas, les sorties deviennent interdites, le placement en institution est recherché. Ils concluent : « le Dr TERRAT surprotège. Or un patient atteint de démence a besoin de conserver des activités pour maintenir au mieux ses capacités cognitives ».

Pas de mots pour décrire ce que nous venons de traverser lors de l'arrivée de ma grand-mère dans cet établissement début novembre (L2) puis transférée en (L1) - suite à la détection de cas covid dans le service.Heureusement elle vient d'avoir une place en EPhad...... après des semaines de lutte avec l'administration pour pouvoir la faire sortir.Les locaux sont miteux, laissés à l'abandon...Ils ne donnent vraiment pas envie de retrouver goût à la vie, ça c'est sûr.Le volet de chambre de ma grand mère est resté cassé plus de 5jours (un drap faisant office de volet en attendant...).La nourriture est bonne" un jour sur deux...Le contrôle du Pass sanitaire y a été inexistant tout le mois de novembre...Le kiné a été malade

Un mouroir. Mon papa est décédé dans cet hôpital avec deux versions des faits...Aucune transparence, des explications floues et contradictoires.Le docteure n’a même pas eu la délicatesse de nous l’annoncer de vive voix...si j’avais su que mon papa allait être transféré dans ce mouroir je m’y serais opposée fermement ! De la négligence et du désintérêt car Medecin qui part du postulat qu’âgé signifie malade signifiant mort. Mon père était une personne inquiète et avait besoin d’être rassuré. La présence de ma mère lui était indispensable. Elle était sur le parking 1h avant sa mort et vous ne l’avez pas laisser rentrer ! Vous avez limité les visites car soi disant patient covid mais n’avez pas cherché à tester sa conjointe âgée de 70 ans.La veille à l’hôpital Nord tout allait bien ce n’était pas un patient covid....il allait pouvoir rentrer et sa fin s’est précipitée dans votre hospice où règne la misère physique et morale...

L'hôpital de la Charité n'est plus le mourroir" auquel on pensait il y a 20 ans. Même si les bâtiments restent anciens