Tombe d'Élisabeth Strogonoff Demidoff

Père Lachaise Cemetery: Elisabeth Alexandrovna Strogonoff de Demidoff, died April 8, 1818. Furthermore, there is the legend of her last will and testament. According to this legend, the Baroness did not want to be alone in her grave.Thus, anyone who could stay in the tomb with her for a year would receive millions of francs. No contact allowed – not even the person bringing their food. However this stalwart person could freely wander in the cemetery during the night after the locking of the gates.In addition, reports that follow this legend indicated that many tried to spend a year, none succeeded and some turned into babbling.

Histoire rare de la comtesse d’Élisabeth strogonoff demidoff a transmis à son notaire de faire passer une n’annonce ou elle léguai une partie de son héritage à la personne qui aurait la volonté de rester dans son tombeau 1 an avec elle !Petit héritage de 3 million de rouble cependant mal grès plusieurs tentatives il n’y aura eut qu’un homme qui sera rester 10jours pour abandonner et se suicider 3jours après !Malheureusement rester 10 jours

Gigantesque et plein de mystère !

A quite spectacular tomb that stands out in the surrounding cemetery area. Much of the original decorations, heraldic art and carvings are still well preserved.

La tumba de quien fuera una aristócrata rusa. El mausoleo es grandioso, enorme.Tanto Elisabeth Strogonoff como su tumba son dueños de un mito que se ha mantenido a lo largo de muchos años: tal vez ayudada por la simbología que refiere guiños al clan Demidoff (el martillo del herrero, el sable y el lobo), se instaló la idea de que, según los informes, la condesa depositó un testamento en un abogado de París invitando a la gente a que venga a acompañar su cuerpo durante 365 días y 366 noches a cambio de un legado de toda su fortuna, unos 2 millones de rublos. Un artículo de Temps que data de noviembre de 1896 relata esta historia a través de una entrevista con el conservador Padre Lachaise. La circulación generalizada de esta leyenda en todo el mundo ha resultado en el envío de una gran cantidad de cartas de solicitud al curador del Padre Lachaise. Según pudo contar el director del cementerio, la leyenda se ha expandido en varias ocasiones, con diferencia de décadas entre una versión y la otra, en la que sólo varía el monto del premio.La historia del testamento es completamente falsa, también lo son los intentos fallidos que circularon (incluida la versión de un sujeto que duró tres semanas al costado del féretro antes de perder la cordura).

Elizaveta Alexandrovna Stroganova (francisé en Stroganoff ou Strogonoff; 1779-1818), descendante d’une lignée d’industriels russes ayant fait leur fortune dans le commerce du sel et des fourrures, épousa en 1795 Nikolai Nikitich Demidov (Demidoff; 1773-1828). Ce dernier était lui aussi issu d’une grande dynastie industrielle: à la fin du XVIIIème siècle, les usines Demidov produisaient 40% de la fonte russe. Il fut aussi un diplomate avisé et un mécène généreux qui sut faire fructifier la fortune familiale.L’argent ne faisant de toute évidence pas le bonheur, le mariage fut malheureux. Après la naissance de quatre enfants dont deux moururent en bas âge, les époux se séparèrent. Lui partit vivre à Florence et elle s’installa définitivement à Paris où elle mourut à 40 ans, le 8 avril 1818.Elle fut inhumée le lendemain, dans l’actuelle 39ème division, derrière le Maréchal Masséna (+1817). Un monument fut construit à grands frais sur un terrain de 12m²: un sarcophage antique en marbre blanc exécuté à Carrare, orné d’un double écusson couronné où figure les armes de la comtesse repose sur un stylobate supportant 10 colonnes doriques du même matériau. Sur l’entablement du portique, figurait l’inscription suivante: Ici reposent les cendres d’Elisabeth de Demidoff née Baronne de Strogonoff, décédée le VIII avril MDCCCXVIII, épouse de SNA Demidoff, conseiller privé et chambellan actuel de SM l’Empereur de Russie, commandeur de l’ordre de Saint-Jean de JérusalemLe monument ne fit jamais l’unanimité auprès des visiteurs: on le jugea souvent ostentatoire et de mauvais goût.Vers 1852, le tombeau fut transféré à son emplacement actuel, dans la 19ème division.Le monument d’origine fut déplacé pour être posé sur un immense socle orné de symboles rappelant les origines de la fortune familiale: le marteau de forgeron (qui figure aussi sur les armes des Demidoff), la zibeline et le loup. C’est Léon Danjoy qui fut chargé de concevoir ce nouveau monument qui devint de fait le mausolée le plus imposant du Père-Lachaise.Il est à noter que le chemin du dragon passe derrière le mausolée et que c’est des divisions inférieures que l’on jouit de la vue souhaitée par l’architecte puisque le sarcophage et les armes de la famille sont tournés vers Paris. L’inscription originelle a disparu et a été remplacée par celle-ci, notée à l’arrière du monument:Ici reposent les cendres d’Élisabeth de DÉMIDOFF née baronne de STROGONOFF décédée le 8 avril 1818.

Tomba spettacolare, che svetta sulle altre.

Storia di ricchezza e solitudine dietro questo maestoso monumento funebre, a dimostrare che non bastano tutti i soldi del mondo per comperare la felicità...tantomeno la memoria dei postumi...