Centre Pierre Nicole 27 Rue Pierre Nicole, 75005 Paris

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À propos de l'entreprise

Care, support, prevention in addictology - CSAPA Pierre Nicole - Croix Rouge française | Care, accommodation and reintegration services for anyone with addiction problems, drugs, drugs, alcohol, tobacco.

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27 Rue Pierre Nicole, 75005 Paris

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Fonctionnalités

  • Toilettes accessibles en fauteuil roulant
  • Toilettes
  • Nouveaux patients




Avis recommandés

Julie Farris
04.02.2024
Centre Pierre Nicole
J'ai été trés bien accueillie et écouté. Merci encore
isa bale
20.01.2024
Centre Pierre Nicole
Merci le docteur De Vaquier est formidable , toujours à l’écoute et bienveillant…
Marco Paulo De Oliveira
03.01.2024
Centre Pierre Nicole
Super équipe !
Nadine Lorgère
24.11.2023
Centre Pierre Nicole
Pour le professionnalisme des soignants et intervenants. Et leur engagement.
Pascale Tovagliari
19.11.2023
Centre Pierre Nicole
Un lieu chaleureux avec de formidablesPraticiens.Je recommande très chaudement.
nieta zarai
15.11.2023
Centre Pierre Nicole
C'est une mauvaise note pour le Dr wieviorka, que j'ai fréquenté durant 10 ans, humainement parlant j'étais face à un mur froid, , elle était désagréable, me laissant pleurer sans jamais m'aiguiller, j avais peur d'elle, je la soupçonne de méchanceté envers moi.Je suppose que l'on était incompatible, et j'aurais dû demander à changer de médecin car a pierre nicole quand le Dr wieviorka était absente j'avais affaire à d'autres médecins qui eux étaient a l'écoute et vraiment supers!Mais quand on déprime on a pas les réactions adéquates, on ose pas toujours demander et réagir.. je m'exprime aujourd'hui et j'aurais dû le faire depuis longtempsEx: j'ai dû partir travailler à l'étranger 2 mois, à l'époque, en 2009, mon traitement était de 15 jours il me semble, je lui ai expliqué que j'allais être en manque, j'étais à 20 mg/ jour, elle m'a dit de me débrouiller, que ce n'était pas son affaire, Je sais qu'elle pouvait augmenter ma dose à 60mg/jour, mais elle ne l'a pas suggéré.Je suis partie en diminuant jour après jour mon traitement, en ouvrant les gelules, pour les diviser. Je travaillais en Grèce, 10 h/ jour à 42 degrés pour décorée la maison en peinture décorative d'un banquier. C'était très très bien payé.Je n'avais pas le droit de manquer le boulot, j'ai tenu jusqu'à un certain point. Puis un jour n'y tenant plus de manque j'essaie de trouver un centre, malheureusement la methadone a Athènes en 2009 était réservé aux grecs...Finalement c'est a l'hôpital que trouve un vieux médecin qui ne me dévisage pas trop quand je lui annonce mon problème. Me prescrit de la codéine. Seulement ce médicament contenait bcq de caféine et énormément de paracethamol. Et quand on est en manque on bois pour combler le manque.L'inconvénient c'est qu'avec la caféine je ne dormais plus, plus du tout! Je buvais pour essayer de m'apaiser.La combinaison du médicament et de l'alcool m'a fait faire une pancréatite de stade D à mon retour..Voilà...alors tout n'est pas de la faute de cette madame viwiorka, mais quand je lit ce qu'elle ecrit: qu'il faut trouver son psychiatre, s'entendre avec lui pour avancer, elle aurait dû l'appliquer dans son travail et me conseiller un autre des multiples médecins de son établissement. C'est son œil de praticienne qui doit rester ouvert quand un patient est en détresse comme je l'étais.Plus tard j'ai quitté paris, je me suis installée en seine et Marne et jai rencontré des professionnels dans un csapa de campagne soucieux du bien être des patients, la vocation médicale d'aider, que je n'ai jamais vu derrière le visage fermé et muet de Sylvie wieviorka, existe donc ailleurs.Peut être, madame, vous vousrappellerez, mais ça m'étonnerait..
PARANORMA ENQUETEURS DE L'INCONNU
13.11.2023
Centre Pierre Nicole
CTR : règlement à la tête du client. Une personne qui re-consomme pendant des semaines, plusieurs avertissements avant de se faire exclure avec 2 semaines d'hôtels offertes. Une autre rechute, pas de discussion, pas d'avertissement, direct à la rue sans de repli hôtel pour se retourner.

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