Ordre des Avocats

Certains avocats sont très peu disponibles.

accueil très chaleureux et attentif

Avocats impliqué

Accueil téléphonique pitoyable. Ne pensent qu'au fric : le premier avocat contacté ne m'a pas laissé finir m'a phrase en me disant tout ce qui m'intéresse c'est de savoir si vous avez les moyens de payer les honoraires". Outré je l'ai vivement remercié. Quelques jours plus tard autre tentative

Le bâtonnier complice de délits est infractions pénales.Ces pratiques réitérés à multiples reprises, il ne faut pas faire ces victime si des citoyens applique les mêmes pratiques illégales.

Pourquoi mettre un numéro de téléphone si jamais personne ne répond.Cela fait 2 mois que j'essaie d'avoir quelqu'un au téléphone et rien .Ce monde se déshumanise c'est de pire en pire et ont viens s'étonner que certains pètes les plombs.

Désigné d'office, RECHE ne fait rien sur le dossier et adresse des emails désagréables. Cet individu va être poursuivi pour faute et insuffisances.

Je garde un bon souvenir de Maître Michaël ROQUART qui m'avait évité la prison. Il s'agissait d'une condamnation scandaleuse à deux mois de prison fermes ; scandaleuse car j’étais condamné en mon absence et sans avoir reçu de convocation. Dans ce monde injuste on trouve parfois des gens bienfaisants que le hasard oriente vers eux les victimes de l’injustice. Je téléphonais par hasard à mon avocat (Maître Roquart) pour m’informer sur mon dossier de recours en Appel que j’avais déposé près la Cour de Nîmes concernant l’autorité parentale qui avait été donnée, injustement à mon ex épouse seule, alors que rien ne justifiait cela.Après m’avoir donné des informations sur ce dossier, Me Roquart m’avait demandé pour quelle affaire j’avais été condamné à deux mois de prison fermes par le tribunal de Carpentras. Je lui avais dit que je n’étais pas au courant de cette condamnation et n’avais reçu aucune convocation à ce sujet. C’est alors qu’il m’avait conseillé de faire immédiatement opposition, car il ne restait que quelques jours avant la fin du délai de deux mois, sinon j’irai en prison d’office. Et c’est ce que j’avais fait le jour même.Cette condamnation était due au fait que mon ex épouse indigne m’accusait de l’avoir agressée alors que c’était exactement le contraire. Elle avait manigancé un scénario avec un complice, qui m’avais agressé, en prétextant que je faisais faire des photos avec mes enfants pour les montrer à la justice pour lui montrer que mes enfants étaient attachés à moi, afin de demander ensuite au juge aux affaires familiales de m’en confier la garde. A l’agression de mon épouse et de son complice s’est joint un brigadier de gendarmerie, qui était le voisin de palier de mon agresseur, qui avait fait un rapport en faveur de la mère indigne de mes enfants, et à mon détriment. Trois jours après avoir envoyé une opposition au tribunal, j’avais reçu une convocation pour la tenue d’une audience le mois suivant. Deux jours après les gendarmes étaient venus me chercher pour m’emmener en prison ; et je leur avais présenté la convocation du tribunal. Ils n’avaient pas été informés de l’opposition que j’avais faite et de la nouvelle audience fixée par le tribunal.Donc c’est grâce à l’information qui m’avait été donnée par mon avocat cité (que je remercie infiniment au passage) que j’avais échappé de justesse à la prison pour, encore une fois, des accusations mensongères. Lors de cette nouvelle audience, mon avocat ayant fourni ses conclusions évoquant la complicité de mon agresseur (qui avait servi, dans le même temps de témoin avec mon ex épouse), le tribunal avait annulé la condamnation.Par ce témoignage je voulais remercier publiquement cet avocat qui avait aussi fait ce qu’il avait pu pour dissuader la Cour d’appel que rien ne justifiait l’attribution de l’autorité parentale à la mère de mes enfants seule. Mais le caractère de la décision n’était pas aussi neutre que l’on pouvait le croire : l’arrêt confirmait cette décision qui n’avait rien avoir avec ce dossier de divorce, ni avec la Loi.La réalité c’est que j’avais osé déposer plaint auparavant contre des policiers qui avaient falsifié un rapport de fourrière me concernant pour éviter au garagiste qui avait enlevé ma voiture de me dédommager le dégât qu’il avait provoqué à mon véhicule. Ces derniers avaient été sanctionnés par le commissaire après, après quoi ils m’avaient fait des représailles et fait condamner à trois mois de prison avec sursis pour « outrage en paroles » sur fond mensonger ; ce que je contestais, et avais fait tous les recours, jusqu’à la Cour européenne des droits de l’Homme; et ceci n’a pas plu à mes détracteurs qui ont considéré mon opposition à cette condamnation injuste comme un affront à leur égard, me considérant certainement comme hors-la-loi, car ils se considèrent comme étant la Loi eux-mêmes.

Le bâtonnier Jean-Marie CHABAUD va lui aussi être poursuivi pour fautes. Des sanctions sont exigées.

On peut constater que les avocats et les bâtonniers ont été à la même école : des spécialistes pour couvrir les turpitudes de leurs collègues... Nîmes est vraiment sale