C.U.C.D.B. Centre Universitaire Catholique De Bourgogne

Concernant la section DIIAGE :Ecole avec des objectifs financiers clairement annoncés. Les élèves sont la pour faire mousser l'école au portes ouvertes et rare sont ceux qui sont réellement motivés et qui s'investissent à fond (mais ceux la heureusement qu'ils sont la !).Professeurs venant principalement du lycée St Bénigne donc n'espérez pas un niveau de ouf (sauf les intervenants qui, pour la plupart, rendent leur cours vivant et intéressant). Notation et évaluation des matières assez flou (pas de grille de notes, et si il en a une, elle est pas claire du tout).A noter que l'école ne vous sera d'aucun soutien en cas de conflit avec votre entreprise durant les périodes de stage/alternance.Un investissement de ~4500€ perdus....En résumé : Boite à fric !

Le Diiage est censé délivré un diplôme universitaire, ce qui est faux. L'organisation est à revoir, les intervenants sont là une fois en début d'année. On y apprend rien, j'ai l'impression d'avoir fait un bts 2.0 et d'avoir perdu du niveau théorique comme pratique finalement. Pour vous donner une idée, dans ce cycle d'ingénieur" (ce qui est faux

2 étoiles pour le secrétariat. Heureusement que la personne, brune de l'accueil est très efficace, sinon ce serait une étoile. Les deux autres c'est vraiment limite.

Section informatique DIIAGE :Ce n'est pas un diplôme universitaire, encore moins un diplôme d'ingénieur ou un Master MIAGE mais uniquement de la formation.Remarque : il n'y a pas de cours magistraux, c'est une formation pratique avec des professeurs aux abonnés absents aux TP et de manière générale, les projets sont en réalité faits de manière autonomeUn point à signaler, dans cette formation un système stupide est appliqué : les étudiants sont responsabilisés par rapport à leur travail"

DIIAGE, une formation de laquelle vous ressortirez avec autant de compétences qu’à votre arrivée mais allégés de 4500€.La formation fonctionne sur le principe du mode projet. Par groupe composés par les encadrants et sur une durée généralement de 3 semaines, les étudiants doivent réaliser une solution répondant à un sujet donné avec des technologies imposées. Le premier jour, on vous sert une présentation approximative de ce vers quoi doit tendre la solution que vous devez proposer avec des liens vers les documentations des technologies en guise de cours, c’est tout. Vous êtes alors invités à vous autoformer pendant ces 3 semaines avant d’avoir un message la veille pour le lendemain des attentes du jury pour l’évaluation. Si tant est que vous demandez un peu d’aide, on vous répond sans fioriture aucune de nouveaux liens vers d’autres documentations. Plusieurs fois, l’information a été remontée comme quoi un peu d’accompagnement sur des technologies nouvelles serait bénéfique pour débuter des projets d’une durée assez courte. La réponse est toujours la même : « On en tiendra compte pour les projets suivants. », réponse dont on n’a en réalité jamais vu l’application. En résulte un survol d’une multitude de technologies mais la maitrise d’aucune. Les seules compétences à valoriser en sortie d’école sont celles vues en entreprise en stage ou en alternance.En ce qui concerne les évaluations, elles ne peuvent être que partielles puisqu’aucun suivi n’a lieu pendant la réalisation de ces projets. On demande alors aux étudiants d’appliquer en amont un transfert de compétences entre eux sur ce que chacun à pu lire sur différents sites, et constater ou non l’exactitude au cours de la réalisation du projet concerné. Oubliez donc les bonnes pratiques, trônent ici les défenseurs du « Ça marche » ou « Ça ne marche pas » ! Vous réalisez en fin de projet un oral devant un jury qui vous jugera alors uniquement sur ce qu’il voit sans chercher à comprendre ce qui a été mis en place derrière. Oral tantôt en anglais tantôt en français, au bon vouloir des responsables. Pas d’inquiétude quant à leurs attentent en anglais, il n’y en a pas. Ils restent cohérents avec l’enseignement donné puisqu’aucun cours d’anglais n’est ici dispensé. Ne pensez pas ressortir avec le TOEIC en poche, pas beaucoup d’étudiants n’auraient eu la chance de repartir avec en sortie d’école. N’espérez pas non plus avoir une transparence au niveau de ces évaluations, des notes sorties d’un chapeau apparaissent en fin de semestre sans justification des résultats affichés.Les responsables de formation vantent un suivi pédagogique très précis et une écoute des attentes de leurs étudiants qui ne sont en réalité que deux appâts de plus pour vous faire rejoindre leurs rangs avant de vous laisser gentiment de côté pendant 3 ans.L’avis général commun à plusieurs promotions est sans surprise le suivant : la technique du pied dans la porte qui consiste à tout faire pour vous donner l’impression d’une bonne formation au cours de la 1e année. Tous les ans, plusieurs départs ont quand même lieux lors de cette première année mais n’apparaissent étonnement pas dans les statistiques vantées par l’école. Arrivée en 2e année, le temps se gâte avec une écoute des étudiants que partielle et uniquement lorsqu’en contrepartie, cela peut avoir un intérêt pour la formation notamment à l’arrivée des portes-ouvertes qui sont tout de même désertées par les étudiants de 2e et 3e année. Enfin, la dernière année les éléments se déchainent avec un abandon total du suivi des étudiants.Le seul point positif est l’expérience acquise en entreprise entre le stage et l’alternance.Conclusion : Une formation que l’on hésite encore à mettre en avant, même pour combler le vide sur un CV.

Très bonne formation Master Métier de l'enseignement (MEEF) pour devenir enseignant en école/collège/lycée. Les formateurs sont très performants et accueillants. J'ai beaucoup appris sur les nouvelles pédagogies : TICE numérique, Pédagogie de projet, classe inversée, sciences cognitives, EPI interdisciplinaires, interculturalité... Merci à toute l'équipe de l'ISFEC.Je suis aujourd'hui enseignant titulaire en SVT au collège.

Bonne école sans plus.Prix abordable comparé à d'autres qui délivrent le même genre de diplôme (ici environ 5 000€ --> Epitech environ 10 000€)

- C’est une bonne situation ça scribe ?- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…

Le Diiage forme ses étudiants dans un mode projet. Avec moins de cours théoriques, l'aspect pratique est beaucoup plus abordé.Les avantages d'une telle formation :- Mode projet représentatif du monde professionnel.- Stage puis alternance, formation qualifiante.- Diplôme non académique mais reconnu par l'état.- Assistance des intervenants > création de réseau professionnel.- Les certifications travaillées pendant l'année (MCSA sur 3 ans (1 par an) et CCENT la première année). Certifications bientôt obligatoires.Désavantages :- Forme en ingénierie informatique mais n'assure pas le titre d'ingénieur.- Mode projet compliqué à assimiler.- Pas de crédit ECTS validé avant la fin de formation.- Prix de la formation.