Lycée Romain Rolland

En entrant dans le lycée, je pensais avoir la belle vie. Mais je suis toujours célibataire ; et ça bien sur, l'administration ne se préoccupe pas de ce genre de détail puéril"Déçu"

Dans l’ensemble le lycée est correct mais un prof en particulier n’a clairement pas sa place ici *tousse tousse un prof d’anglais*. D’autres prof ont des lacunes pour enseigner mais dans l’ensemble le lycée reste respectable et propre

J’étais à l’ouverture du lycée en 1958. Le premier jour nous n’avions que des chaises et pas de tables … le lycée n’était pas terminé, la cour c'était des cailloux ! Aucune clôture autour, et un magnifique terrain vague pour les « cours de gym » . Il s’appelait « annexe du lycée Henri IV » et c’était un des premiers lycées de banlieue .Le « must » que j’ai apprécié, moi qui venait d’une sombre école communale du 13ème arrondissement, c’était les baies vitrées en accordéon qui ouvraient tout un mur et nous permettaient, en hiver, d’admirer le soleil levant sur la centrale thermique de Vitry !J’ai eu d’excellents professeurs tout au long de mes études jusqu’en terminale (Math Elem) et je garde un souvenir extraordinaire de ces années. J’ai toujours une amie de ce lycée, depuis la classe de 6ème !

Le lycée Romain Rolland se situe dans un cadre magnifique. Il est assez bien dirigé et entretenu.

La proviseur est très désagréable et malpolie elle ne dit ni bonjour ni au revoirBravoAvant de diriger un établissement aller d’abord apprendre les règles de politesseCordialement

Ce lycée propose plusieurs options artistiques (cinéma, arts plastiques, théâtre); cela a été à l'origine de ma vocation. J'y ai passé de belles années.

Je parle des années 1967-1974. Très bon lycée, à une époque où on n’hésitait pas à faire partir sans états d’âme les élèves pour divers motifs (résultats, comportement). D’où un très bon niveau. Mai 68 a plutôt amélioré l’ambiance (en 67 c’était encore un lycée-caserne). J’y ai reçu un excellent enseignement et j’ai obtenu le 1er prix au concours général en composition française en 1974. J’en garde de très bons souvenirs.