Orvitis Office Public de l'Habitat de la Côte-d'Or

Panne d’eau chaude récurrente dans le bâtiment personne ne fais rien malgré que tout le voisinage se plains aucun geste n’est fais. Super en plein mois de juin avec 30 degrés la journéeje met une étoile car on ne peux pas mettre moins

Il est regrettable de constater que les services fournis par Orvitis sont loin d'être à la hauteur des attentes. L'état déplorable des immeubles, les ascenseurs en panne et les problèmes d'hygiène comme les déjections dans les escaliers extérieurs sont inacceptables et peuvent même poser des risques pour la santé. Les entreprises choisies pour les réparations semblent manquer d'intégrité, avec un personnel dont les compétences laissent à désirer. En tant que locataires, nous souhaitons exprimer nos inquiétudes concernant la qualité du travail effectué dans nos résidences. Nous avons remarqué à plusieurs reprises des problèmes de communication et d'incompréhension de la langue avec certains prestataires de services étrangers. Nous comprenons l'importance de la diversité et de l'inclusion, mais nous croyons également que la compréhension mutuelle est essentielle pour garantir un travail de qualité. Nous tenons à souligner que nos préoccupations ne visent pas à stigmatiser ou à discriminer, mais à mettre en avant l'impact que la barrière linguistique peut avoir sur la réalisation de tâches essentielles. Nous croyons fermement que la communication efficace est cruciale pour assurer des résultats satisfaisants et durables. Nous souhaitons simplement que nos résidences bénéficient d'interventions professionnelles et bien exécutées, indépendamment de l'origine des travailleurs. Nous espérons que vous comprendrez nos inquiétudes et que des mesures seront prises pour améliorer la qualité des services fournis. Notre objectif est de collaborer avec Orvitis pour assurer un environnement de vie sûr, confortable et de haute qualité pour tous les locataires. Même des éléments basiques tels que les tableaux électriques sont mal installés, et les prises électriques défectueuses sont négligées, malgré les plaintes répétées des locataires. Il est difficile de comprendre où vont nos paiements dans un pays considéré comme civilisé. Orvitis semble ignorer les droits fondamentaux de ses locataires et négliger les remarques qui pourraient améliorer la qualité de vie de ses résidents. Il est particulièrement frustrant de constater qu'Orvitis continue de se décharger de ses responsabilités en renvoyant systématiquement la faute sur ses prestataires, alors que c'est avec Orvitis que nous avons une relation contractuelle directe. Nos interactions et nos problèmes sont avec eux en tant qu'interlocuteur principal, et il est inacceptable qu'ils évitent de prendre leurs propres responsabilités. Cette situation montre un manque de transparence et d'engagement envers leurs locataires, ce qui ne devrait pas être toléré dans une relation locataire-gestionnaire d'immeuble. Il est légitime de se poser des questions sur l'utilisation de nos charges locatives. Nous constatons que les véhicules d'Orvitis sont nombreux et en mouvement, ce qui suscite des interrogations quant à leur destination, leur fréquence et leur utilisation. En tant que locataires, nous avons le droit de demander des informations sur la manière dont nos charges sont employées. Il est tout à fait compréhensible de souhaiter savoir où vont nos contributions financières et même d'exiger une transparence sur ce sujet. En tant que partie prenante de la communauté, nous devrions être informés de la manière dont notre argent est géré et utilisé pour améliorer nos conditions de vie. Il est d'autant plus frustrant de constater que les interventions effectuées par Orvitis sont souvent prolongées en raison d'une mauvaise exécution initiale. Cette situation a des répercussions financières, car les coûts s'accumulent et ce sont finalement les locataires qui en supportent la charge. Il est injuste que nous devions payer pour des interventions qui auraient pu être évitées si le travail avait été correctement réalisé dès le départ.

Bailleur social catastrophique