Fondation L'Elan Retrouvé Institut Paul Sivadon

Je confirme le commentaire qui a mis une étoile. Le personnel de l'Institut Paul Sivon que ce soit les psychiatre, psychologues, ergothérapeute ou bien infirmiers ont atterris en psychiatrie car ils ne l'on tout bonnement pas choisit. C'est vraiment par dépit qu'il sont ici et cela s'en ressent froidement. Le patient en fait par conséquent les frais. On viens dans cette structure car on nous a dirigé la ... Au final au fil des visites l'état se dégrade, on est dans un état psychologique pire qu'a notre entrée, on a toujours l'impression de déranger les médecins et le personnel paramédical .... Il y'a une médecine a deux vitesse avec un groupe de patient privilégié au détriment des autres ... Si vous souhaiter une ambiance chaleureuse ce n'est tout bonnement pas ici. Il y'a des structure plus vivante et surtout humaine. A fuir!

perturbe l ' entourage avec des bruits de chantiers intoterables et inopinés

Un gros manque d'empathie et une façon de gérer le patient, dont le détachement et la désinvolture laissent perplexe, de la part du praticien. On se sent toujours plus mal, au fur et à mesure des visites, avec un profond sentiment de dévalorisation de soi et une envie d'en finir croissants, qui donnent après chaque séance, l'impression d'avoir été purement et simplement humilié, car le silence assourdissant en dit toujours plus long et laisse des traces plus indélébiles, qu'une parole directement malveillante.

Je me permets de déposer un avis, à l'encontre de cet établissement, car j'étais inscrit : de 2008 à 2012, et ce, sur les conseils d'un médecin.Bien que les différents ateliers proposés soient satisfaisants, j'ai été déçu de la communication envers les patients.En effet, à plusieurs reprises, je me suis retrouvé dans l'espace d'attente, sans que personne ne s'occupe de moi, et pour cause, personne ne m'avait prévenu que mon atelier était suspendu pour cause de congé.En fait, à l'époque, les interactions se faisaient exclusivement à l'oral, une seule fois, avec l'appui d'une petite feuille A4, et tant pis pour ceux n'ayant pas reçu l'information.Lorsque j'ai reproché n'avoir reçu aucun courrier, ni texto, ni mail ou autre, on me répond que c'est leur mode de fonctionnement.Quand ils ont su mon choix de quitter définitivement l'établissement, on me propose, comme par hasard, un pense-bête.